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5 juillet 2010

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2 juillet 2010

Les français et l'art contemporain- questions du sondage

FREQUENTATION

 Combien de fois par an fréquentez-vous / parcourez-vous des lieux consacrés à l’art ?

(musée, expo, magazine, foire ou salon, galerie)?

 

ACHAT

 Avez-vous déjà acheté une œuvre d’art contemporain ?(photo, sculpture, peinture, gravure...°)

 

INTENTION

 Avez-vous l’intention d’acheter une œuvre d’art contemporain ?(photo, sculpture, peinture, gravure...)

 

LIEU D'ACHAT

 Où achèteriez-vous une oeuvre d’art contemporain?

(foire, salon, galerie d'art, internet,salle des ventes , autres)

 

INTERNET

 Pour vous, en matière d’art, que représente Internet ?

 

IMAGE

 Pour vous, quelle est la fonction d'une galerie d’art ,avant tout? 

 

IMAGE

 Pour vous, l’achat d’une oeuvre d’art contemporain qu’est-ce avant tout ?

 

SENTIMENTS

 Quel est votre sentiment vis-à-vis de l’art contemporain ?


1 juillet 2010

Résultats du sondage

1 juillet 2010

emprunté à : le Figaro

emprunté à : le Figaro

http://www.lefigaro.fr/culture/2008/03/29/03004-20080329ARTFIG00668-la-volonte-d-affirmer-l-art-francais.php

l'art français 

V. S.
01/04/2008 | Mise à jour : 12:04

Sa création est le fait d'un roi, Louis XIV, en 1666, sous l'impulsion de trois illustres personnages, son premier ministre Colbert, le peintre Le Brun (qui fut une sorte de ministre de la Culture), et Gianlorenzo Bernini, dit Le Bernin, un des artistes phares du baroque italien. C'est l'époque où Louis XIV lance d'ambitieux grands travaux : le Louvre, les Tuileries, Versailles, la Comédie-Française, les Gobelins… « Il y avait une volonté claire d'affirmer un art français, alors que Rome faisait référence », commente François Laurent, secrétaire général de la Villa Médicis. D'où la stratégie d'y expédier les meilleurs artistes du royaume, afin « qu'ils se confrontent aux génies italiens ».

Colbert invente les pensionnaires. Ce sont des premiers prix de Rome, des protégés de grands seigneurs français. En Italie, ils consacrent leur séjour aux copies de l'Antique et de la Renaissance.

L'Académie de France est alors installée à Sant'Onofrio, en Calabre. La Villa Médicis est en sommeil depuis que son propriétaire, le cardinal Ferdinand de Médicis, grand collectionneur passionné par l'Antiquité, a dû y renoncer pour le trône de Toscane un siècle plus tôt.

 

Le prix de Rome

 

En 1803, sur décision de Napoléon Ier , l'Académie de France prend le chemin de Rome. La voici rattachée à l'Institut de France et le concours d'entrée, dit prix de Rome, est organisé par l'Académie des beaux-arts. La Villa Médicis joue enfin son rôle de palais des arts. Elle accueille d'illustres pensionnaires (lire ci-contre) et de non moins prestigieux directeurs : les peintres Charles Thévenin, Horace Vernet et Jean Auguste Dominique Ingres puis, au tournant du siècle, le sculpteur Eugène Guillaume, et, plus tard, le compositeur Paul Landowski. La Seconde Guerre mondiale ouvre une parenthèse : Mussolini réquisitionne les lieux, l'Académie plie bagages en direction de Nice.

À partir de 1961, André Malraux décide d'organiser des « activités culturelles ». Le destin s'accélère : « Malraux est le troisième grand parrain de cette institution », commente François Laurent. Il nomme Balthus à la tête de la Villa. C'est sous sa direction que seront lancés les grands travaux de rénovation et ouvertes les salles d'exposition. Les pensionnaires sont associés à la programmation. Les séjours en résidence raccourcissent à mesure que s'étoffe le nombre de disciplines accueillies. Jusqu'aux arts culinaires, désormais au menu du patrimoine culturel français.

 

1 juillet 2010

les français et l'art contemporain:

1 juillet 2010

Les français et l'art contemporain

emprunté du site:

http://arts.fluctuat.net/blog/42937-sondage-les-francais-et-l-art-contemporain.html

Le Journal des Arts publie cette semaine un sondage, commandé par ArtParis+Guests à l'Institut BVA et mené auprès d'un millier de personnes, sur l'intérêt des Français pour l'art contemporain. Où l'on voit notamment que la curiosité du public est plus grande que l'on croit, même s'il y a du chemin à faire pour que les Français intègrent l'art à leurs pratiques culturelles régulières.

Ainsi, 51 % des sondés sont curieux, et même enthousiastes (11 %), vis-à-vis de l'art contemporain. Pourtant, 40 % des Français ne mettent jamais les pieds dans un musée (tout type confondu), près de 70 % ne poussent jamais la porte d'une galerie d'art, environ la moitié ne lisent jamais un magazine d'art ou n'écoutent pas d'émission de radio ou de télé sur l'art. Et la fréquentation régulière des lieux d'expos (plus de 10 fois par an) est extrêmement rare : entre 1 et 3 %.

 

L'achat d'œuvres d'art contemporain est chose encore plus mal partagée entre les Français : seuls 20 % d'entre eux sont déjà passés à l'acte — le profil-type de l'acheteur étant le cadre de 50-64 ans à revenus élevés et vivant en région parisienne. Les 80 % restant affirment n'avoir aucune intention de se payer une œuvre : hormis la question des moyens, la frilosité des Français pourrait s'expliquer par l'incompréhension de l'art contemporain, le sentiment de ne pas appartenir à une « élite » à laquelle serait réservé ce type d'art (voir à ce sujet notre article sur les mécanismes des expos blockbusters), ou encore le manque de pédagogie et de convivialité des galeristes. C'est d'ailleurs dans une foire qu'ils s'imaginent le mieux conclure l'affaire, plutôt que dans les galeries (le plus souvent désertes, avec une moyenne de 93 visiteurs par semaine...), voire sur Internet, peut-être par une certaine timidité. Internet qui est le moyen favori pour recueillir des infos sur l'art, bien avant d'entrer dans une galerie, considérée d'abord comme un lieu de prise de contact avec le milieu de l'art (34 %), plutôt qu'un lieu d'achat (20 %). Pour environ 44 % des sondés, acheter une œuvre d'art, c'est un coup de cœur voire une folie. Seuls 4 % l'envisagent comme un placement, et 28 % considèrent que la pratique est réservée aux seuls connaisseurs.


Pour 32 % des Français, l'art contemporain suscite de l'indifférence, pour 15 % de l'incompréhension... Si les musées et galeries ont encore du pain sur la planche, peut-être est-il temps que l'école, en amont, s'y mette aussi pour faire baisser ces chiffres encore bien trop élevés.

 

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